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Performance Cumulée depuis création
Performance Cumulée 10 ansPerformance Cumulée 5 ansPerformance Cumulée 3 ansPerformance Cumulée 12 mois
- 3.2 %
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+ 5.9 %
Du 29/07/2021
Au 17/05/2024
Performance par Année Civile 2014Performance par Année Civile 2015Performance par Année Civile 2016Performance par Année Civile 2017Performance par Année Civile 2018Performance par Année Civile 2019Performance par Année Civile 2020Performance par Année Civile 2021Performance par Année Civile 2022Performance par Année Civile 2023
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+ 1.5 %
- 12.1 %
+ 2.7 %
Valeur Liquidative
93.9 €
Actifs Nets
501 M €
Marché
Marchés européens
Classification SFDR
Article
8
Au : 30 avr. 2024.
Au : 17 mai 2024.
Les performances passées ne préjugent pas des performancesfutures. Elles sont nettes de frais (hors éventuels frais d’entrée appliqués par le distributeur).Le rendement peut augmenter ou diminuer en raison des fluctuations monétaires, pour les actions qui ne sont pas couvertes contre le risque de change.
Le mois d’avril a été difficile pour les actions et les actifs obligataires, en raison d’une inflation américaine plus élevée que prévu et d’une croissance toujours solide. Cette situation a conduit les marchés à revoir leurs attentes concernant les prochaines baisses de taux de la Réserve fédérale, ce qui a entraîné une hausse des taux d’intérêt mettant ainsi sous pression les valorisations des marchés actions. Les actions européennes ont mieux résisté que leurs homologues américaines, bénéficiant d’une amélioration des perspectives de croissance et d’une dynamique d’inflation moins vigoureuse. Alors que les baisses de taux américains semblent plus lointaines, les données économiques publiées localement suggèrent qu’une baisse des taux d’intérêt de la Banque centrale européenne (BCE) en juin est toujours d’actualité. Malgré le repli des actions, les marchés du crédit se sont relativement bien comportés. Les écarts de taux des obligations de première qualité se sont encore resserrés à la fois aux États-Unis et en Europe. Parallèlement, le mois a été marqué par la saison de résultats du premier trimestre. Si la majorité des entreprises ont publié au-dessus des attentes, les marchés ont été plus enclins à sanctionner les entreprises qui ont déçu. Par ailleurs, le creusement de l’écart de taux d’intérêt entre le Japon et les autres pays développés a exercé une pression à la baisse sur le yen et suscité des inquiétudes quant à l’impact de l’inflation importée sur la demande intérieure japonaise.
Commentaire de performance
Dans ce contexte complexe, le Fonds affiche une performance négative, mais surperforme son indicateur de référence. La sélection de titres dans les secteurs de la santé et de la technologie a été le principal détracteur de la performance, à l’image de SAP (-5%) et Lonza (-6%). Cependant, on notera que la diversification macro-économique mise en place sur les actions a compensé cette baisse. La performance de l’or, du cuivre ainsi que de nos protections sur les indices actions et la volatilité ont en effet contribué positivement à la performance. Sur les taux, la faible sensibilité aux taux du portefeuille ainsi que nos protections sur le crédit en début de mois ont permis de limiter l’impact de la hausse des taux cœurs. Par ailleurs, l’exposition du Fonds au yen a pesé sur la performance, la devise japonaise ayant encore baissé face à l’euro dans l’attente d’une réaction des autorités. Dans l’ensemble, la corrélation positive entre les actions et les obligations a pesé sur la performance du Fonds, même si nos positions diversifiantes sur les matières premières et nos protections sur les actifs risqués ont permis de limiter la baisse.
Perspectives et stratégie d’investissement
L’environnement de la première partie de l’année a été caractérisé par une reprise mondiale synchronisée combinée à un assouplissement monétaire synchronisé, ce qui a été très favorable aux marchés des actions dans leur ensemble. Cependant, la volatilité est revenue au cours des dernières semaines. En effet, les marchés sont à la recherche d’un nouvel équilibre, en mettant en parallèle les données favorables sur le front de la croissance économique et des bénéfices des entreprises avec les inquiétudes concernant l’inflation. Par conséquent, nous pensons que la reprise synchronisée se poursuivra au cours des prochains mois, mais nous prévoyons une plus grande divergence des politiques monétaires entre les principales banques centrales. Cet environnement devrait continuer d’être bénéfique pour les actifs risqués mais pourrait créer plus de volatilité sur les marchés. Dans ce contexte, nous conservons une exposition élevée aux actions mais privilégions la diversification au sein des matières premières notamment. Sur les taux, nous conservons une sensibilité faible due au manque de visibilité sur les potentielles prochaines baisses de taux à venir. Enfin, pour nous protéger contre l’augmentation de la volatilité, nous avons mis en place des stratégies d’options sur les principaux indices actions et sur la volatilité elle-même, bénéficiant ainsi d’un coût de protection bon marché.
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Environnement de marché
Le mois d’avril a été difficile pour les actions et les actifs obligataires, en raison d’une inflation américaine plus élevée que prévu et d’une croissance toujours solide. Cette situation a conduit les marchés à revoir leurs attentes concernant les prochaines baisses de taux de la Réserve fédérale, ce qui a entraîné une hausse des taux d’intérêt mettant ainsi sous pression les valorisations des marchés actions. Les actions européennes ont mieux résisté que leurs homologues américaines, bénéficiant d’une amélioration des perspectives de croissance et d’une dynamique d’inflation moins vigoureuse. Alors que les baisses de taux américains semblent plus lointaines, les données économiques publiées localement suggèrent qu’une baisse des taux d’intérêt de la Banque centrale européenne (BCE) en juin est toujours d’actualité. Malgré le repli des actions, les marchés du crédit se sont relativement bien comportés. Les écarts de taux des obligations de première qualité se sont encore resserrés à la fois aux États-Unis et en Europe. Parallèlement, le mois a été marqué par la saison de résultats du premier trimestre. Si la majorité des entreprises ont publié au-dessus des attentes, les marchés ont été plus enclins à sanctionner les entreprises qui ont déçu. Par ailleurs, le creusement de l’écart de taux d’intérêt entre le Japon et les autres pays développés a exercé une pression à la baisse sur le yen et suscité des inquiétudes quant à l’impact de l’inflation importée sur la demande intérieure japonaise.