Performance Cumulée depuis création
Performance Cumulée 10 ansPerformance Cumulée 5 ansPerformance Cumulée 3 ansPerformance Cumulée 12 mois
+ 41.9 %
-
+ 27.3 %
+ 0.8 %
+ 11.6 %
Du 31/07/2017
Au 06/05/2024
Performance par Année Civile 2014Performance par Année Civile 2015Performance par Année Civile 2016Performance par Année Civile 2017Performance par Année Civile 2018Performance par Année Civile 2019Performance par Année Civile 2020Performance par Année Civile 2021Performance par Année Civile 2022Performance par Année Civile 2023
-
-
-
+ 1.8 %
+ 1.7 %
+ 20.9 %
+ 10.4 %
+ 3.0 %
- 13.0 %
+ 10.6 %
Valeur Liquidative
141.9 €
Actifs Nets
1 366 M €
Marché
Marchés mondiaux
Classification SFDR
Article
6
Au : 30 avr. 2024.
Au : 6 mai 2024.
Les performances passées ne préjugent pas des performancesfutures. Elles sont nettes de frais (hors éventuels frais d’entrée appliqués par le distributeur).Le rendement peut augmenter ou diminuer en raison des fluctuations monétaires, pour les actions qui ne sont pas couvertes contre le risque de change.
Les réunions des banques centrales n’ont pas réservé de surprises majeures lors du mois de mars, exception faite de la Banque du Japon qui a mis un terme à sa politique de taux d’intérêt négatifs en augmentant son taux directeur de -0,1% à une fourchette de 0%-0,1%. En revanche, la perspective d’une trajectoire de baisse des taux coordonnée entre la Banque centrale européenne et la Réserve fédérale semble se contracter tant les données de croissance et d’inflation ne cessent de surprendre à la hausse outre-Atlantique. En dépit d’un narratif accommodant, la Réserve fédérale a été contrainte d’accroître ses prévisions de croissance pour le cycle à venir. L’indice des prix à la consommation a de nouveau dépassé les attentes des opérateurs de marché à +3,2% sur un an après une publication déjà décevante le mois précédent alors que l’inflation cœur reste sensiblement au-dessus de la cible de la Réserve fédérale à 3,8%. Les autres indicateurs se sont montrés tout aussi robustes, à l’instar des ventes au détail ou de la production industrielle qui ont rebondi à fin février alors que le rapport sur les créations d’emplois a également dépassé les attentes avec une augmentation de 275 000 emplois sur le mois. Sur le Vieux Continent, la tendance reste plus mesurée alors que les États font preuve d’un peu plus d’orthodoxie budgétaire pour satisfaire les contraintes de déficit fixées par l’Union européenne. Notons toutefois que la publication des indicateurs avancés PMI a été encourageante avec une amélioration de l’activité dans les services qui est désormais ancrée en territoire expansionniste, tout comme la confiance des consommateurs qui a montré un signe de rebond. La Banque centrale européenne a diffusé un message rassurant en baissant ses prévisions d’inflation en dépit d’une inflation sur les services qui reste engluée à 4% et des tensions sur le cours des matières premières qui semblent gagner en importance après une forte décrue en 2023.
Commentaire de performance
En mars, le Fonds a réalisé une performance absolue positive et en ligne avec celle de son indicateur de référence. En effet, notre portefeuille a bénéficié de ses principales thématiques d’investissement, tant sur les titres de première signature que sur ceux à haut rendement, à l’instar de la finance, de l’énergie, de nos convictions idiosyncratiques et de nos titres de restructuration. Enfin, nous avons aussi tiré parti de nos obligations adossées à des prêts d’entreprise («?collateralized loan obligation?», CLO), qui continuent de performer de manière régulière.
Perspectives et stratégie d’investissement
Nous continuons de nous concentrer sur nos principales thématiques d’investissement, via une sélection d’obligations à haut rendement, sur les secteurs de l’énergie et de la finance, par exemple, moins sensibles à la hausse des taux d’intérêt, et via notre sélection d’obligations adossées à des prêts d’entreprise («?collateralized loan obligation?», CLO), qui bénéficie d’une structure à taux variable, permettant d’atténuer les effets négatifs causés par la volatilité des taux d’intérêt et la hausse des taux de défaut. De plus, dans cet environnement volatil, nous maintenons nos stratégies de couverture sur les marchés à 20%, afin de protéger le portefeuille contre le risque de nouvelles dislocations du marché, tout en nous concentrant sur l’alpha. En effet, après des années de faiblesse dues à l’abondance de liquidités et au coût bas du capital, les taux de défaut devraient remonter à des niveaux plus normaux, ce que nous considérons comme un catalyseur à même de créer de réelles opportunités idiosyncratiques. Enfin, le portage élevé du portefeuille (supérieur à 7%) et les valorisations attractives du crédit devraient atténuer la volatilité à court terme et permettre de générer de la performance à moyen et long terme.
La référence à certaines valeurs ou instruments financiers est donnée à titre d’illustration pour mettre en avant certaines valeurs présentes ou qui ont été présentes dans les portefeuilles des Fonds de la gamme Carmignac. Elle n’a pas pour objectif de promouvoir l’investissement en direct dans ces instruments, et ne constitue pas un conseil en investissement. La Société de Gestion n'est pas soumise à l'interdiction d'effectuer des transactions sur ces instruments avant la diffusion de la communication. Les portefeuilles des Fonds Carmignac sont susceptibles de modification à tout moment.
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Les informations présentées ci-dessus ne constituent ni un élément contractuel, ni un conseil en investissement. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Elles sont nettes de frais (hors éventuels frais d’entrée appliqués par le distributeur), le cas échéant. L’investisseur peut perdre tout ou partie du montant de capital investi, les OPC n’étant pas garantis en capital. L’accès aux produits et services présentés ici peut faire l’objet de restrictions à l’égard de certaines personnes ou de certains pays. Le traitement fiscal dépend de la situation de chacun. Les risques, les frais et la durée de placement recommandée des OPC présentés sont décrits dans les KID (documents d’informations clés) et les prospectus disponibles sur ce site internet. Le KID doit être remis au souscripteur préalablement à la souscription. »
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Environnement de marché
Les réunions des banques centrales n’ont pas réservé de surprises majeures lors du mois de mars, exception faite de la Banque du Japon qui a mis un terme à sa politique de taux d’intérêt négatifs en augmentant son taux directeur de -0,1% à une fourchette de 0%-0,1%. En revanche, la perspective d’une trajectoire de baisse des taux coordonnée entre la Banque centrale européenne et la Réserve fédérale semble se contracter tant les données de croissance et d’inflation ne cessent de surprendre à la hausse outre-Atlantique. En dépit d’un narratif accommodant, la Réserve fédérale a été contrainte d’accroître ses prévisions de croissance pour le cycle à venir. L’indice des prix à la consommation a de nouveau dépassé les attentes des opérateurs de marché à +3,2% sur un an après une publication déjà décevante le mois précédent alors que l’inflation cœur reste sensiblement au-dessus de la cible de la Réserve fédérale à 3,8%. Les autres indicateurs se sont montrés tout aussi robustes, à l’instar des ventes au détail ou de la production industrielle qui ont rebondi à fin février alors que le rapport sur les créations d’emplois a également dépassé les attentes avec une augmentation de 275 000 emplois sur le mois. Sur le Vieux Continent, la tendance reste plus mesurée alors que les États font preuve d’un peu plus d’orthodoxie budgétaire pour satisfaire les contraintes de déficit fixées par l’Union européenne. Notons toutefois que la publication des indicateurs avancés PMI a été encourageante avec une amélioration de l’activité dans les services qui est désormais ancrée en territoire expansionniste, tout comme la confiance des consommateurs qui a montré un signe de rebond. La Banque centrale européenne a diffusé un message rassurant en baissant ses prévisions d’inflation en dépit d’une inflation sur les services qui reste engluée à 4% et des tensions sur le cours des matières premières qui semblent gagner en importance après une forte décrue en 2023.